Le dîner des Français : il y a du changement au menu ! 

Ah le dîner … Ce doux moment de retour à la maison, après une longue journée de travail ; une tablée familiale qui discute et mange à l’unisson ; et surtout, un bon repas complet … avant que chacun ne tombe dans un sommeil profond.

Cliché non ? Oui ! Car le dîner s’est bel et bien métamorphosé ces dernières années.

Quels sont les grands changements sociétaux autour de ce repas cher à la culture française ? Quelles nouvelles offres ont émergé pour répondre aux attentes des consommateurs ? Nous nous sommes penchés sur le dîner, version 2022.

4 changements de comportement clés à l’heure du dîner.  

A quoi ressemble le dîner d’aujourd’hui dans un foyer français ?

Une bonne dose de partage. Car OUI le dîner est toujours perçu comme un moment de partage. 19 % des Français estiment d’ailleurs que préparer les repas du soir représente l’occasion de partager des moments en famille (Opinion Way, 2017).

Un peu d’écrans. Partager, oui, mais toujours avec son téléphone à proximité : dans un étude Kantar de 2019, 32% des sondés déclarait profiter du dîner pour envoyer des textos. Les 18-34 ans déclaraient tout de même être 49% à scroller sur Instagram pendant le repas du soir. Sacrilège !

Une durée raccourcie. Autrefois perçu comme le moment le plus long passé à table, le repas du soir est aujourd’hui de plus en plus court : près de la moitié des français passent moins de 30 minutes à dîner … contre 38% il y a 20 ans (Ifop, 2020). CQFD.

Une assiette dressée sur le canapé. Car le dîner n’est plus vraiment pris à table. Une récente étude américaine a montré que seulement 48% des Américains mangent à table, alors que 72% avaient été élevés ainsi en grandissant (JuneOven, 2021). En France, le canapé est l’endroit privilégié où dîner pour 38% des sondés ! (Ifop, 2020)

Vite, Varié, Végé : ce que veulent les Français dans leurs assiettes.

Vite. Il ne vous aura pas échappé que la livraison de repas à domicile a fait une entrée fracassante dans nos vies: à la faveur de la crise Covid-19 elle a bondi de 47% entre 2020 et 2021 (NPD Group, 2021). Désormais, on fait également livrer ses kits repas. Qui Toque, Hellofresh, Foodette … tous ces acteurs s’accordent autour d’une même promesse : des produits frais, livrés à domicile et accompagnés de fiches recettes simplissimes. Autre marché ayant bénéficié de la crise sanitaire : le surgelé fait son grand retour au dîner. Yooji l’a bien compris en proposant, dès 2012, la meilleure « copie du fait-maison pour bébé » : portionné, surgelé, prêt à être réchauffé. De quoi ravir les jeunes parents pressés.

Varié. Autre tendance marquante depuis 2020 : le retour des produits « Évasion ». 2020 aura vu les cuisines du monde progresser de manière spectaculaire en GMS : +25 % en valeur (Iri, 2021). Les Français ont immanquablement eu envie de voyager depuis chez eux, à travers leurs assiettes. Logique ! Mais cette envie de variété ne s’arrête pas à la consommation de World Food. Dans une étude internationale de 2021, FMCG Gurus déclarait que 74% des consommateurs aimaient tester des aliments et boissons avec des goûts, textures et mélanges inédits. Le succès des chefs ambassadeurs de la Cuisine Fusion, comme Diego Alary ou encore Mory Sacko, confirme cette tendance.

Végé. Avec près d’1/3 de la population se déclarant être flexitarienne (Ifop, 2021), les recommandations des médecins et nutritionnistes sur la non-consommation de viande le soir et la montée des préoccupations liées à l’environnement, les assiettes des français au dîner sont de plus en plus végétalisées. Le hashstag #vegandinner compte d’ailleurs 2,1 millions de publications sur Instagram. La soupe est également passée en quelques années du statut de « dîner de mamie » à celui de « dîner trendy »: 93 % des Français pensent désormais que la soupe permet de manger des légumes de façon saine et 87 % qu’elle représente un plat réconfortant et économique (Ipsos 2021). Elle caracole même en tête des diners les plus populaires chez les personnes seules.

En 2022, la marque Royco a d’ailleurs choisi de se repositionner, en France, sur l’instant stratégique du dîner (la précédente plateforme de marque la positionnait comme « Pause »). L’ambition de la marque, c’est de mettre en avant la chaleur et le réconfort apporté aux consommateurs, tout en leur proposant une solution repas rapide et légère. Le nouveau design témoigne de ce passage d’une marque qui empruntait aux codes du snacking, à une marque Repas. Il incarne un instant pour soi, chaleureux et sain (des réassurances sur la fabrication et la composition du produit ont été valorisées en facing) Un redesign délicieusement réconfortant.

Et demain ? 2 tendances émergentes qui vont remplir nos assiettes.  

La tendance du « Sheet Pan Dinner » a déjà conquis les pays anglo-saxons. Mettre une grande variété d’ingrédients, épices et condiments sur une plaque de cuisson et l’enfourner pour 45 minutes : c’est ça le sheet pan dinner. Pratique, varié et pour tous les goûts … on comprend mieux pourquoi le hashtag #sheetpandinner atteint près de 33,7M de vues sur Tiktok. 

 

La diminution des temps de repas et le déplacement du dîner sur le canapé amènent petit à petit vers une « snackification » du dîner. Depuis plusieurs années les apéro-dînatoires ont le vent en poupe … mais c’est sous une forme de véritable festin à picorer qu’ils sont en train de se réinventer. De grandes planches, aux allures de banquets, appelées Grazing Board : c’est l’apéro dinatoire 2.0.

37 480 : c’est le nombre d’espèces classées « menacées » par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature en 2021. Lorsqu’une espèce s’éteint, c’est tout un écosystème qui se déséquilibre. Cet écosystème, c’est ce qu’on appelle la biodiversité.

La biodiversité c’est tout le tissu vivant de notre planète, ce sont toutes les relations tissées entre les êtres vivants et leur milieu de vie, et c’est avant tout une histoire de rythme et de synchronisation naturels … forcément perturbés par l’intensité de l’activité humaine et le réchauffement climatique.

Pas étonnant, donc, que l’environnement fasse partie des 3 préoccupations les plus importantes des Français aux côtés de la santé publique et de l’emploi. Et quand les consommateurs sont aussi préoccupés par un sujet, les marques se doivent d’apporter des réponses.

Du Storytelling au Storydoing !

Depuis plusieurs années, de nombreuses marques communiquent sur leurs engagements pour réduire leur impact sur la biodiversité grâce à la sélection de matières premières plus responsables, un sourcing plus durable ou encore un packaging mieux conçu. Et ça tombe bien, car 90% des consommateurs européens attendent des marques qu’elles s’engagent pour l’environnement. 

Pourtant, chez les plus jeunes consommateurs, la satisfaction n’est pas au rendez-vous : seuls 28% de la GenZ (1995-2010) pensent que l’impact positif des marques est suffisant.
« Peut mieux faire » donc … mais pas n’importe comment ! Fini le temps où les marques pouvaient « greenwasher » tranquillement, sans que les consommateurs ne s’en aperçoivent : côté GenZ, ils ne sont que 44% à croire aux actions d’une marque si elles sont mises en avant dans une publicité.
Pour convaincre leurs plus jeunes consommateurs sur leur engagement en faveur de la biodiversité, les marques sont donc prévenues : il leur faudra des convictions et surtout de l’action.

La mode et l’alimentaire dans le viseur.

2 grands secteurs sont notamment pointés du doigt pour leur impact sur la biodiversité : la mode et l’alimentaire.

Du côté de la mode – 2ème secteur le plus polluant au monde, responsable d’émanations et de rejets toxiques notamment dans les sols et les eaux, catastrophiques pour la biodiversité – une prise de conscience des consommateurs a lieu : c’est ainsi que, en quelques années, la seconde main est devenue monnaie courante et que la fast fashion, autrefois adorée, est désormais largement décriée et tente de se réinventer.

Qu’en est-il dans nos assiettes ? Le secteur agricole représente 15% du total mondial des gaz à effet de serre. Souvent associée à la déforestation massive, qui diminue drastiquement le nombre d’arbres et détruit des écosystèmes entiers, l’industrie agroalimentaire (et les marques qui en sont les ambassadrices) sont régulièrement pointées du doigt pour leur manque de conscience écologique.

 

Focus sur les marques Food : quelques bonnes pratiques.

Les marques activent plusieurs leviers pour réduire leur impact sur l’écologie : les recettes produits et le packaging en sont 2 importants.

Côté packaging, la marque Smarties a dit au revoir à ses emballages plastiques et devient la première marque internationale de confiserie à proposer des emballages en papier recyclable. Cette initiative est une illustration concrète de l’engagement du Groupe Nestlé à rendre 100% de ses emballages recyclables ou réutilisables d’ici 2025. Nestlé fait donc le choix d’un système circulaire (réemploi des matières premières) plutôt qu’un système linéaire (usage unique), favorisant ainsi la biodiversité.

Une deuxième piste est le sourcing de matières premières responsables pour fabriquer le packaging. C’est par exemple le cas de Carte D’Or, qui propose depuis 2020 un nouveau bac en carton recyclable, composé de carton certifié PEFC, issu de forêts gérées durablement. Cette certification assure le respect et maintien de la biodiversité, des eaux et des sols, ainsi que le renouvellement naturel de la forêt. De quoi limiter les perturbations de l’écosystème naturel en place.

Du côté des recettes, la grande gagnante est la suppression de l’huile de palme, connue pour son impact négatif sur la santé ainsi que l’environnement avec d’importantes déforestations pour sa culture. Les pesticides sont également pointés du doigt ; et à ce sujet les marques sont passées à la vitesse supérieure en faisant usage de mention comme « sans résidus de pesticides », à l’image de Bonduelle, ou le label « Zéro résidus de pesticides ». Ce dernier poursuit sa percée depuis son lancement en 2018 par le collectif Nouveaux Champs : composé de 8 membres au départ, il compte désormais plus de 200 références alimentaires labellisées et 600 producteurs engagés.

Jordans: 35 ans d’actions pour la biodiversité

Jordans, acteur incontournable du petit déjeuner des Français, investit dans une agriculture plus durable favorisant la biodiversité : chacun de ses agriculteurs partenaires alloue près de 10% de ses terres au libre développement de la faune et de la flore sauvage, avec un soin tout particulier apporté aux abeilles et autres insectes pollinisateurs indispensables à l’écosystème. C’est au total une surface de 18 000Ha, soit l’équivalent de la ville de Grenoble, que les agriculteurs partenaires de la marque allouent à la biodiversité. C’est ainsi que la marque arbore fièrement son panneau « 35ans d’actions pour la biodiversité » dans sa nouvelle identité packaging.

En bref, depuis quelques années, il y a eu une réelle prise de conscience aussi bien de la part des consommateurs mais également des marques sur l’importance de préserver la biodiversité. De nombreuses marques essaient de plus en plus de tendre vers une démarche plus responsable afin de réduire leur impact, et souhaitent ensuite véhiculer leurs engagements auprès de consommateurs de plus en plus soucieux sur l’avenir écologique.

Apparu depuis plusieurs années sur certains de nos emballages alimentaires, le “Nutri-score” prend désormais de plus en plus de place.

On peut ainsi se demander quelle est sa signification, quelle est sa valeur ?

Tout d’abord, il faut savoir qu’il s’agit d’un logo apposé sur la face des packagings afin d’informer les consommateurs sur la qualité nutritionnelle du produit. Mis en place depuis 2017, le Nutri-score possède une échelle de couleur du vert au rouge ainsi que des lettres pour indiquer la note nutrionnelle d’un produit. De nombreuses études européennes démontrent l’utilité santé de ce logo qui devient un véritable allié pour les consommateurs désireux de mieux consommer.

Comment la lettre et la couleur sont-elles attribuées à un aliment ?

Le calcul qui nous permet d’obtenir une notation par couleur et lettre se fait de la façon suivante :

Il s’agit d’un score obtenu prenant en compte pour 100 gr ou 100 mL de produit, la teneur :

  • _ en nutriments et aliments à favoriser (fibres, protéines, fruits, légumes, légumineuses, fruits à coques, huile de colza, de noix et d’olive),

  • _ et en nutriments à limiter (énergie, acides gras saturés, sucres, sel).
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Le Nutri-score est-il obligatoire ?

A ce jour, il n’est pour le moment pas obligatoire de faire figurer le nutri-score sur tous les emballages alimentaires. Néanmoins, de nombreuses discussions sont actuellement en cours pour rendre ce logo obligatoire d’ici la fin de l’année 2022. Plusieurs branches du secteur de l’alimentaire y sont opposées.

Quelles sont les limites du Nutri-score ?

Même si ce logo possède de nombreux avantages pour que le consommateur ait une meilleure visibilité sur les produits qu’il consomme, le Nutri-score connaît lui aussi des limites. En effet, la possibilité que celui-ci devienne obligatoire d’ici fin 2022 soulève plusieurs problèmes dans certaines catégories d’aliments. 

Certains aliments se retrouvent automatiquement lésés via l’utilisation du Nutri-score. La quasi intégralité des fromages sont par exemple classés entre D et E (soit les notes les plus basses). Les producteurs de fromage sont inquiets de voir les ventes diminuer à cause d’un nutri-score “effrayant”.

Il faut également savoir que le Nutri-score ne prend pas en compte dans ses calculs, les additifs, ce qui n’indique pas aux consommateurs que le produit a été transformé ou non.

 

 

N’étant pas obligatoire, de nombreux industriels refusent d’apposer le fameux logo sur leurs produits de peur de freiner la consommation. D’autres industriels apposent quant à eux le nutri-score quand celui-ci est bon dans un objectif commercial. Si le logo devient obligatoire, les marques vont être obligées de revoir l’ensemble des packaging, impliquant donc de nombreuses modifications.

Et, si le nutri-score devient obligatoire, cela va t-il réellement bousculer les ventes des produits mal classés ? Les sodas seront -ils détrônés dans quelques années par des boissons classées A ou B ?

Le nutri-score n’est pas le seul logo à être de plus en plus présent. En effet, tout comme les logos “Bio”, “Made In France”, “Sans Gluten », etc….On peut s’interroger sur les nouvelles contraintes graphiques auxquelles les entreprises doivent répondre. Et oui, des notations, un logo, des labels, etc. ajoutés à la nécessité d’avoir des emballages simples, design, impactant et compréhensifs de tous, devient un vrai casse-tête pour les marques.

L’avenir du nutri-score pourrait aussi évoluer notamment par le biais de nouvelles tendances de consommation telle que le Vrac.

Et vous, que pensez-vous du Nutri-Score ?

Crédit photo : Nutri-score

Après plusieurs périodes marquées par le covid et les confinements, les habitudes de consommation et attentes ont évolué. Les points communs entre ces nouvelles tendances ? La santé et l’écologie.

Revenons en détail sur ces nouvelles tendances de consommation qui ont marqué l’année 2021 et qui seront davantage ancrées dans nos habitudes en 2022 :

 

  • Vers une alimentation plus saine 

C’est l’une des préoccupations les plus importantes des français depuis quelques années. La santé a pris davantage d’importance au cours des dernières années, notamment avec l’apparition de la pandémie ; 79% d’entre eux craignent que les aliments qu’ils mangent nuisent à leur santé. S’inscrivant dans cette tendance de prendre soin de soi en mangeant, on retrouve plusieurs tendances de fond : privilégier des produits de qualité avec une composition connue, favoriser la consommation de produits locaux et de saison, le développement de régimes alimentaires tel que le “sans gluten”, consommer moins de sel, de sucre et préférer les produits sans ajouts de conservateurs. 

 

Les résultats de ces changements de préoccupation ? Pour n’en citer qu’un, on a assisté à la naissance de nouvelles marques engagées pour la santé des consommateurs telle que notamment la marque .nod.

Local
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  • Le Bio, toujours au coeur des tendances 

Le saviez-vous ? Près de 71 % des Français consomment des aliments bio au minimum une fois par semaine et 14% des Français en consomment quant à eux chaque jour. La santé et l’écologie se rejoignent ici, avec des produits issus de l’agriculture biologique qui excluent l’utilisation de produits chimiques de synthèse. Selon l’Agence Bio, le marché du bio a dépassé les 13 milliards d’euros de chiffre d’affaires, en croissance de 10,4 % (versus +13,5 % en 2019). Les produits stars bio auprès des consommateurs sont les légumes et les fruits ; en effet les consommateurs sont davantage sensibles à l’utilisation de produits chimiques sur ce type de produits “bruts”.

 

Bio

Un besoin de transparence

Les nombreuses crises sanitaires alimentaires ont renforcé au fil des années, la méfiance des consommateurs lors de l’achat de produits, notamment pour ceux qui contiennent de la viande. Cette tendance durable force désormais une grande partie des industriels à mettre en avant la traçabilité de leurs produits et notamment l’origine. Le “Made In France” apparaît comme un gage de qualité ; mais  attention à bien distinguer “Préparé en France” et “Produit d’origine française”.

 

Une confiance labellisée

A la recherche de produits de qualité, les labels permettent aux consommateurs d’acheter des produits respectant un certain cahier des charges faisant gage de qualité. Plusieurs labels indépendants et reconnus sont à connaître : Label Rouge, l’AB (Agriculture Biologique), l’AOC, l’AOP, l’IGP… Attention, il existe un grand nombre de mentions sur les produits comme “Elu produit de l’année”, il s’agit d’un outil marketing mis en place par les marques pour rassurer et mettre avant certains produits. 

 

Un retour vers les produits locaux 

Les confinements ont nettement participé à l’envie de consommer local. Les consommateurs ont eu une réelle prise de conscience notamment lorsque les restaurateurs se sont retrouvés à fermer leurs établissements. Consommer local possède plusieurs avantages pour le consommateur : réduire l’impact écologique de son foyer, manger des produits de saison, soutenir des petits producteurs proches chez eux, consommer français et souvent manger mieux. Selon une étude de 2020 par OpinionWay pour l’ONG Max Havelaar, près de 80% des Français souhaiteraient consommer plus « responsable » après le covid, en optant notamment pour des produits locaux. 

 

L’anti-gaspillage  

Depuis plusieurs années, les consciences ne cessent de s’éveiller, notamment sur l’important gaspillage alimentaire avec près de 10 millions de tonnes de nourriture consommable gaspillées chaque année en France, soit l’équivalent de 150 kg/hab./an. A travers les réseaux sociaux, de nombreuses astuces sont déployées pour réduire le gaspillage ; il faut par exemple acheter l’essentiel, bien conserver les aliments entamés dans des boîtes hermétiques, congeler les aliments qui ne seront finalement pas consommés… Pour lutter contre ce problème, les consommateurs ne doivent pas être les seuls à se mobiliser. Depuis juillet 2021, les restaurateurs sont désormais obligés de proposer des “doggy bags” aux clients qui n’auraient pas fini leurs plats, desserts ou même vins.

 

Le végétal à l’honneur dans les assiettes

La consommation de produits d’origine végétale ne cesse d’augmenter. En effet, on associe souvent les produits d’origine végétal avec le côté sain. Dans les produits stars, on retrouve le fromage ou encore les yaourts d’origine végétale. L’augmentation de la consommation de ce type de produits s’explique notamment par une hausse des préoccupations écologiques et de santé.

 

Alors, face à ces nouvelles tendances et attentes des consommateurs, comment les marques peuvent-elles s’adapter ?

#StayTuned pour la suite !